Il parle d'interruptions, d'ellipses, d'écarts, de déroutements, et eux entendent négation, destruction, épuisement. Pauvres eux ! Ils feraient mieux d'apprendre à écouter les naissances, les envois, les advenues, et plus tard les tissages, les enchevêtrements, les intrigues. Ainsi le décalage apparaît-il. Dans la complétude qu'ils invoquent, ils projettent une totalité achevée, une substance, un absolu intangible, et ils se voient eux-mêmes en gardiens de ce monument tout positif...