C'est le cri de désespoir d'un Président d'association d'écrivains qui négocia en vain la libération d'un autre Président d'association d'écrivains, sexagénaire qui mourra dans l'obscurité carcérale pour ce que les puissances d'Etat appellent " délits d'opinion ". C'est un poème sous la plume de l'un des maîtres consacrés de la poésie, marqué du sceau des tam-tams dits " parleurs " des profondeurs de l'Afrique.
C'est le cri de désespoir d'un Président d'association d'écrivains qui négocia en vain la libération d'un autre Président d'association d'écrivains, sexagénaire qui mourra dans l'obscurité carcérale pour ce que les puissances d'Etat appellent " délits d'opinion ". C'est un poème sous la plume de l'un des maîtres consacrés de la poésie, marqué du sceau des tam-tams dits " parleurs " des profondeurs de l'Afrique.