Est-il si sûr que l'attirance exclue la répulsion ? Nous savons ce qui nous attire et nous rebute. Nous nous trouvons en face d'une question identitaire : attirance et répulsion agissent en tant que phénomènes superstructurels qui renvoient à la constitution de notre identité affective. Et le dédain ? Il relève d'un autre mode opératoire, négatif et dépendant avant tout de notre volonté : dédaigner, c'est fouler aux pieds le désir de l'autre ou la bienveillance de la Fortune, au nom de nos aspirations.
Est-il si sûr que l'attirance exclue la répulsion ? Nous savons ce qui nous attire et nous rebute. Nous nous trouvons en face d'une question identitaire : attirance et répulsion agissent en tant que phénomènes superstructurels qui renvoient à la constitution de notre identité affective. Et le dédain ? Il relève d'un autre mode opératoire, négatif et dépendant avant tout de notre volonté : dédaigner, c'est fouler aux pieds le désir de l'autre ou la bienveillance de la Fortune, au nom de nos aspirations.