Cet ouvrage démontre que la théorie actuellement dominante (théorie néoclassique) favorise une économie financiarisée où le gaspillage des ressources naturelles est généralisé et où s'impose la loi du plus fort. Elle n'est compatible ni avec le développement équitable car elle crée ou aggrave les inégalités, ni avec le développement durable car elle fait passer les intérêts partisans avant l'intérêt général. L'auteur propose ici une nouvelle théorie économique qui ouvre de nouvelles perspectives...
Cet ouvrage démontre que la théorie actuellement dominante (théorie néoclassique) favorise une économie financiarisée où le gaspillage des ressources naturelles est généralisé et où s'impose la loi du plus fort. Elle n'est compatible ni avec le développement équitable car elle crée ou aggrave les inégalités, ni avec le développement durable car elle fait passer les intérêts partisans avant l'intérêt général. L'auteur propose ici une nouvelle théorie économique qui ouvre de nouvelles perspectives...
Cet ouvrage démontre que la théorie actuellement dominante (théorie néoclassique) favorise une économie financiarisée où le gaspillage des ressources naturelles est généralisé et où s'impose la loi du plus fort. Elle n'est compatible ni avec le développement équitable car elle crée ou aggrave les inégalités, ni avec le développement durable car elle fait passer les intérêts partisans avant l'intérêt général. L'auteur propose ici une nouvelle théorie économique qui ouvre de nouvelles perspectives...
Cet ouvrage démontre que la théorie actuellement dominante (théorie néoclassique) favorise une économie financiarisée où le gaspillage des ressources naturelles est généralisé et où s'impose la loi du plus fort. Elle n'est compatible ni avec le développement équitable car elle crée ou aggrave les inégalités, ni avec le développement durable car elle fait passer les intérêts partisans avant l'intérêt général. L'auteur propose ici une nouvelle théorie économique qui ouvre de nouvelles perspectives...