Née dans la mouvance de la terrible crise de 1929, Thérèse Deschambault sera élevée comme toutes les jeunes filles de son époque. Déterminée à faire le bien et sauver le plus d’enfants possible, elle se fait carmélite, puis sœur grise, pour enfin défroquer et fonder un foyer. Au sortir d’un mariage malheureux, elle connaîtra cinquante-six métiers et cinquante-six misères, puis deviendra éventuellement hôtesse de l’air. Vive, curieuse, elle n’échappera pas au vent de libération qui soufflait sur les années 1960 et 1970 et deviendra adepte de l’échangisme. Exit Sainte-Thérèse, place au plaisir!
Mais tout ne fut pas si simple pour cette femme débordante d’énergie qui élèvera souvent seule ses deux enfants, un garçon et une fille, en travaillant jour et nuit pour s’assurer qu’ils ne manquaient de rien. Elle-même artiste peintre, elle continue encore aujourd’hui d’aider les artistes à la tête du Club des arts de Montréal (The Arts Club) et compte aussi à son actif deux commentaires : Mon fils est mort du SIDA et Les dernières violences. Dans Mon fils est mort du SIDA, elle décrit le lent dépérissement de son fils adoré, atteint du VIH. Puis témoin d’un épisode de maltraitance envers sa mère dans un CHSLD, révolté, elle tourne un documentaire sur le sujet Les dernières violences.
Née dans la mouvance de la terrible crise de 1929, Thérèse Deschambault sera élevée comme toutes les jeunes filles de son époque. Déterminée à faire le bien et sauver le plus d’enfants possible, elle se fait carmélite, puis sœur grise, pour enfin défroquer et fonder un foyer. Au sortir d’un mariage malheureux, elle connaîtra cinquante-six métiers et cinquante-six misères, puis deviendra éventuellement hôtesse de l’air. Vive, curieuse, elle n’échappera pas au vent de libération qui soufflait sur les années 1960 et 1970 et deviendra adepte de l’échangisme. Exit Sainte-Thérèse, place au plaisir!
Mais tout ne fut pas si simple pour cette femme débordante d’énergie qui élèvera souvent seule ses deux enfants, un garçon et une fille, en travaillant jour et nuit pour s’assurer qu’ils ne manquaient de rien. Elle-même artiste peintre, elle continue encore aujourd’hui d’aider les artistes à la tête du Club des arts de Montréal (The Arts Club) et compte aussi à son actif deux commentaires : Mon fils est mort du SIDA et Les dernières violences. Dans Mon fils est mort du SIDA, elle décrit le lent dépérissement de son fils adoré, atteint du VIH. Puis témoin d’un épisode de maltraitance envers sa mère dans un CHSLD, révolté, elle tourne un documentaire sur le sujet Les dernières violences.
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Mais tout ne fut pas si simple pour cette femme débordante d’énergie qui élèvera souvent seule ses deux enfants, un garçon et une fille, en travaillant jour et nuit pour s’assurer qu’ils ne manquaient de rien. Elle-même artiste peintre, elle continue encore aujourd’hui d’aider les artistes à la tête du Club des arts de Montréal (The Arts Club) et compte aussi à son actif deux commentaires : Mon fils est mort du SIDA et Les dernières violences. Dans Mon fils est mort du SIDA, elle décrit le lent dépérissement de son fils adoré, atteint du VIH. Puis témoin d’un épisode de maltraitance envers sa mère dans un CHSLD, révolté, elle tourne un documentaire sur le sujet Les dernières violences.
Née dans la mouvance de la terrible crise de 1929, Thérèse Deschambault sera élevée comme toutes les jeunes filles de son époque. Déterminée à faire le bien et sauver le plus d’enfants possible, elle se fait carmélite, puis sœur grise, pour enfin défroquer et fonder un foyer. Au sortir d’un mariage malheureux, elle connaîtra cinquante-six métiers et cinquante-six misères, puis deviendra éventuellement hôtesse de l’air. Vive, curieuse, elle n’échappera pas au vent de libération qui soufflait sur les années 1960 et 1970 et deviendra adepte de l’échangisme. Exit Sainte-Thérèse, place au plaisir!
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