Le neuvième livre de Serge Venturini est, d'abord et avant tout, un journal brûlé de poésie de la vision, par la vision incandescente de la poésie : "Le journal du transvisible." Le transvisible est transgenres. Epris d'intensité, le poète tente ici une approche de cette théorie, livre fondateur, selon l'auteur qui tout en éclairant le passé, ouvre au présent un champ à l'avenir, au devenir des hommes. Changer la langue, n'est-ce pas aussi changer l'esprit, les structures de la pensées, la manière de voir le monde?
Le neuvième livre de Serge Venturini est, d'abord et avant tout, un journal brûlé de poésie de la vision, par la vision incandescente de la poésie : "Le journal du transvisible." Le transvisible est transgenres. Epris d'intensité, le poète tente ici une approche de cette théorie, livre fondateur, selon l'auteur qui tout en éclairant le passé, ouvre au présent un champ à l'avenir, au devenir des hommes. Changer la langue, n'est-ce pas aussi changer l'esprit, les structures de la pensées, la manière de voir le monde?