Le refus est le propre de l'homme : refuser, c'est affirmer son "être au monde". Parce qu'il est le produit d'une expérience humaine transformée en conscience, le refus s'impose comme le produit d'une exigence éthique. Il y a une éthique du refus, a fortiori dans la sphère politique, aiguillant les esprits et les comportements. Le refus est une aventure, une geste politique, une insurrection de la conscience qui fait l'effort de se penser dans un monde tourmenté et implacable.
Le refus est le propre de l'homme : refuser, c'est affirmer son "être au monde". Parce qu'il est le produit d'une expérience humaine transformée en conscience, le refus s'impose comme le produit d'une exigence éthique. Il y a une éthique du refus, a fortiori dans la sphère politique, aiguillant les esprits et les comportements. Le refus est une aventure, une geste politique, une insurrection de la conscience qui fait l'effort de se penser dans un monde tourmenté et implacable.
Le refus est le propre de l'homme : refuser, c'est affirmer son "être au monde". Parce qu'il est le produit d'une expérience humaine transformée en conscience, le refus s'impose comme le produit d'une exigence éthique. Il y a une éthique du refus, a fortiori dans la sphère politique, aiguillant les esprits et les comportements. Le refus est une aventure, une geste politique, une insurrection de la conscience qui fait l'effort de se penser dans un monde tourmenté et implacable.
Le refus est le propre de l'homme : refuser, c'est affirmer son "être au monde". Parce qu'il est le produit d'une expérience humaine transformée en conscience, le refus s'impose comme le produit d'une exigence éthique. Il y a une éthique du refus, a fortiori dans la sphère politique, aiguillant les esprits et les comportements. Le refus est une aventure, une geste politique, une insurrection de la conscience qui fait l'effort de se penser dans un monde tourmenté et implacable.