"Un an après le coup de tonnerre du 21 avril 2002, il est temps de dire le découragement et, souvent, l'exaspération du peuple de gauche." Ainsi commence, par ce cri de colère, l'analyse des causes : personnalité du Premier Ministre, décrochage des classes populaires et boulet des 35 heures, incapacité de penser l'Europe de l'après-guerre froide, myopie devant l'ampleur du mouvement antimondialisation, entre autres. Mais l'objectif de l'auteur est surtout de remobiliser la gauche et de proposer une méthode, un calendrier et une esquisse de programme pour préparer l'échéance de 2007.
"Un an après le coup de tonnerre du 21 avril 2002, il est temps de dire le découragement et, souvent, l'exaspération du peuple de gauche." Ainsi commence, par ce cri de colère, l'analyse des causes : personnalité du Premier Ministre, décrochage des classes populaires et boulet des 35 heures, incapacité de penser l'Europe de l'après-guerre froide, myopie devant l'ampleur du mouvement antimondialisation, entre autres. Mais l'objectif de l'auteur est surtout de remobiliser la gauche et de proposer une méthode, un calendrier et une esquisse de programme pour préparer l'échéance de 2007.