Poursuivant sa réflexion entreprise dans son livre "Génocide et transmission" et toujours à partir du génocide des Arméniens l'auteur s'interroge sur le dispositif politique de la disparition et sur les effets psychiques qu'elle produit sur ceux qui sont restés en vie. Pourquoi le déni de l'acte génocidaire fait-il toujours partie intégrante de tout génocide ?
Poursuivant sa réflexion entreprise dans son livre "Génocide et transmission" et toujours à partir du génocide des Arméniens l'auteur s'interroge sur le dispositif politique de la disparition et sur les effets psychiques qu'elle produit sur ceux qui sont restés en vie. Pourquoi le déni de l'acte génocidaire fait-il toujours partie intégrante de tout génocide ?