Le Moungali de mon enfance était une zone paisible, sans grand banditisme, ni grande criminalité. Il comptait néanmoins quelques trublions, et plusieurs caïds qui, après avoir fumé du chanvre, intimidaient les gens au cinéma ABC. Un banquiste passait de temps en temps dans notre quartier, à Moungali. Il se surnommait le Matondo National. On courait pour le voir et l'entendre chanter.
Un jour, un Blanc débarqua à Moungali, dans la rue Lobomo. Il allait vite devenir célèbre, avant que nous le détestions à jamais, et cherchions même à lui faire la peau. A le manger tout cru.
Le Moungali de mon enfance était une zone paisible, sans grand banditisme, ni grande criminalité. Il comptait néanmoins quelques trublions, et plusieurs caïds qui, après avoir fumé du chanvre, intimidaient les gens au cinéma ABC. Un banquiste passait de temps en temps dans notre quartier, à Moungali. Il se surnommait le Matondo National. On courait pour le voir et l'entendre chanter.
Un jour, un Blanc débarqua à Moungali, dans la rue Lobomo. Il allait vite devenir célèbre, avant que nous le détestions à jamais, et cherchions même à lui faire la peau. A le manger tout cru.
Le Moungali de mon enfance était une zone paisible, sans grand banditisme, ni grande criminalité. Il comptait néanmoins quelques trublions, et plusieurs caïds qui, après avoir fumé du chanvre, intimidaient les gens au cinéma ABC. Un banquiste passait de temps en temps dans notre quartier, à Moungali. Il se surnommait le Matondo National. On courait pour le voir et l'entendre chanter.
Un jour, un Blanc débarqua à Moungali, dans la rue Lobomo. Il allait vite devenir célèbre, avant que nous le détestions à jamais, et cherchions même à lui faire la peau. A le manger tout cru.
Le Moungali de mon enfance était une zone paisible, sans grand banditisme, ni grande criminalité. Il comptait néanmoins quelques trublions, et plusieurs caïds qui, après avoir fumé du chanvre, intimidaient les gens au cinéma ABC. Un banquiste passait de temps en temps dans notre quartier, à Moungali. Il se surnommait le Matondo National. On courait pour le voir et l'entendre chanter.
Un jour, un Blanc débarqua à Moungali, dans la rue Lobomo. Il allait vite devenir célèbre, avant que nous le détestions à jamais, et cherchions même à lui faire la peau. A le manger tout cru.