Un homme débarque dans la vie de la narratrice. Le nouvel amoureux de sa mère. Autoritaire, insidieux, parasite. Mais l’adolescente résiste. Grâce à l’écriture, à son amitié avec Sandrine, à la rivière toute proche qui l’apaise. Elle rêve de l’Italie, de l’Etna, de paysages où ce qui brûle en elle peut jaillir. En marge de la violence, il existe des espaces de douceur et de beauté. Mélina Schoenborn nous le rappelle avec sensibilité. Porté par une écriture poétique, fragmentée et traversée d’humour, Je suis un volcan révèle une voix qui gronde. Une voix forte.