Kes (1970), Family (1971) et Sweet sixteen (2002) constituent trois films à part dans la filmographie de Ken Loach constituant un questionnement subtil sur l'aliénation familiale: une exploration de ces univers oppressifs et répressifs des vécus individuels qui s'articulent toujours au sein du collectif. A la manière d'un clinicien, le cinéaste observe, recueille et organise les éléments explicatifs des modes d'agir et d'être des uns et des autres.
Kes (1970), Family (1971) et Sweet sixteen (2002) constituent trois films à part dans la filmographie de Ken Loach constituant un questionnement subtil sur l'aliénation familiale: une exploration de ces univers oppressifs et répressifs des vécus individuels qui s'articulent toujours au sein du collectif. A la manière d'un clinicien, le cinéaste observe, recueille et organise les éléments explicatifs des modes d'agir et d'être des uns et des autres.