Dès 1957, Si Lakhdhar Bouchema, alors jeune lieutenant, disait que le temps des armes était terminé et qu'il fallait passer au dialogue, afin d'arrêter au plus vite les massacres. Lorsque le général de Gaulle a parlé de "la paix des braves" et "d'autodétermination", il a fallu tout faire pour voir clair et essayer d'avancer vers la Paix. Ainsi des officiers de l'état-major de la Wilaya IV, dont Si Lakhdhar, allaient-ils risquer leur vie pour construire une paix véritable dans l'Indépendance de leur patrie.
Dès 1957, Si Lakhdhar Bouchema, alors jeune lieutenant, disait que le temps des armes était terminé et qu'il fallait passer au dialogue, afin d'arrêter au plus vite les massacres. Lorsque le général de Gaulle a parlé de "la paix des braves" et "d'autodétermination", il a fallu tout faire pour voir clair et essayer d'avancer vers la Paix. Ainsi des officiers de l'état-major de la Wilaya IV, dont Si Lakhdhar, allaient-ils risquer leur vie pour construire une paix véritable dans l'Indépendance de leur patrie.