"Une femme s'abîme. Elle ne se présente pas, elle se tient là. Le lieu du monologue où sensations et souvenirs cherchent à s'exprimer est son corps. Chair, os, lourdeurs, traces, marques, blessures, mais aussi mémoire, identité, désir, le corps dans son épaisseur, son opacité, est la réalité à travers laquelle une manière de se dire tente de prendre forme. Cette tension gagne l'espace autour d'elle. Dans les hésitations et les ruptures, une unité syncopée se dessine peu à peu, l'image d'une vie, d'un regard sur soi." Emmanuel Breton
"Une femme s'abîme. Elle ne se présente pas, elle se tient là. Le lieu du monologue où sensations et souvenirs cherchent à s'exprimer est son corps. Chair, os, lourdeurs, traces, marques, blessures, mais aussi mémoire, identité, désir, le corps dans son épaisseur, son opacité, est la réalité à travers laquelle une manière de se dire tente de prendre forme. Cette tension gagne l'espace autour d'elle. Dans les hésitations et les ruptures, une unité syncopée se dessine peu à peu, l'image d'une vie, d'un regard sur soi." Emmanuel Breton
"Une femme s'abîme. Elle ne se présente pas, elle se tient là. Le lieu du monologue où sensations et souvenirs cherchent à s'exprimer est son corps. Chair, os, lourdeurs, traces, marques, blessures, mais aussi mémoire, identité, désir, le corps dans son épaisseur, son opacité, est la réalité à travers laquelle une manière de se dire tente de prendre forme. Cette tension gagne l'espace autour d'elle. Dans les hésitations et les ruptures, une unité syncopée se dessine peu à peu, l'image d'une vie, d'un regard sur soi." Emmanuel Breton
"Une femme s'abîme. Elle ne se présente pas, elle se tient là. Le lieu du monologue où sensations et souvenirs cherchent à s'exprimer est son corps. Chair, os, lourdeurs, traces, marques, blessures, mais aussi mémoire, identité, désir, le corps dans son épaisseur, son opacité, est la réalité à travers laquelle une manière de se dire tente de prendre forme. Cette tension gagne l'espace autour d'elle. Dans les hésitations et les ruptures, une unité syncopée se dessine peu à peu, l'image d'une vie, d'un regard sur soi." Emmanuel Breton