L'Algérie est malade, gravement malade. Même très gravement malade. Trente années d'une gestion ubuesque, sous la férule " éclairée " du Front de Libération Nationale, ont mis le pays complètement à plat. Aujourd'hui, l'Algérie est malade de sa religion dévoyée par ses fous d'Allah, de ses politiciens de salon, des horizons bouchés de ses jeunes désoeuvrés et désespérés, de son arabisation ratée, de son enseignement bâclé, de ses gestionnaires véreux, de ses cadres clochardisés, de son économie saccagée, de ses hôpitaux délabrés et meurtriers, de sa crise de logement cauchemardesque, de ses pénuries traumatisantes, de son chronique déficit en eau, de ses conditions de transport avilissantes, de... et de... ; la liste est interminable. L'auteur tente ici d'autopsier l'anomie qui frappe de plein fouet son pays, livré désormais à tous les aléas.
L'Algérie est malade, gravement malade. Même très gravement malade. Trente années d'une gestion ubuesque, sous la férule " éclairée " du Front de Libération Nationale, ont mis le pays complètement à plat. Aujourd'hui, l'Algérie est malade de sa religion dévoyée par ses fous d'Allah, de ses politiciens de salon, des horizons bouchés de ses jeunes désoeuvrés et désespérés, de son arabisation ratée, de son enseignement bâclé, de ses gestionnaires véreux, de ses cadres clochardisés, de son économie saccagée, de ses hôpitaux délabrés et meurtriers, de sa crise de logement cauchemardesque, de ses pénuries traumatisantes, de son chronique déficit en eau, de ses conditions de transport avilissantes, de... et de... ; la liste est interminable. L'auteur tente ici d'autopsier l'anomie qui frappe de plein fouet son pays, livré désormais à tous les aléas.