L'enfant autiste évite la rencontre qui le submerge pour conserver paradoxalement un lien idéal aux autres mais sans leur présence. Perdant la notion d'altérité, sa pensée n'est plus reliée à son moi corporel et il est confronté à des angoisses catastrophiques d'effacement. Pour lutter contre des angoisses d'anéantissemenent, la recherche de fantasmes de scènes des origines pour se sentir exister, le rend particulièremement attentif à toute métaphore de rencontre, qu'elle soit d'animaux, d'objets, de sustances, d'espaces, de bruits ou qu'elle soit figurée par des mouvements en va-et-vient.
L'enfant autiste évite la rencontre qui le submerge pour conserver paradoxalement un lien idéal aux autres mais sans leur présence. Perdant la notion d'altérité, sa pensée n'est plus reliée à son moi corporel et il est confronté à des angoisses catastrophiques d'effacement. Pour lutter contre des angoisses d'anéantissemenent, la recherche de fantasmes de scènes des origines pour se sentir exister, le rend particulièremement attentif à toute métaphore de rencontre, qu'elle soit d'animaux, d'objets, de sustances, d'espaces, de bruits ou qu'elle soit figurée par des mouvements en va-et-vient.