Poursuivant dans la lignée de son précédent livre, Rondeur d’oxygène, Éric Roberge offre une fois encore une poésie riche, s’appuyant sur l’humour et sur un regard stimulant, qui en fait un plaisir de lecture constant. Loin de « la civilisation de l’ordure », les jours se passent « dans la pessière à mousse résistante au dressage », là où on peut, avec les proches, se construire un monde intime qui permettra à chacun de se créer une enfance mémorable. Entre la plage et la forêt, comment choisir, où s’évader ?. Enseveli sous les décombres . s’attaquer aux jours romains de la semaine . face à face . combat . Éric Roberge habite Trois-Rivières. Il enseigne les Arts et la Littérature au Cégep de Trois-Rivières. En 2020, cette institution lui a décerné un prix Reconnaissance pour son travail sur les livres anciens et rares. En 2000, il a présenté un choix de poèmes tirés de l’œuvre de Louis Dantin, L’abîme hospitalier. Cette vie pleine d’insoutenable (1993) et Cette nudité chauffée à blanc (1994), ont été tous les deux finalistes au Prix Desjardins. Ce dernier recueil a également été traduit en espagnol du Mexique sous le titre Esta desnudez al rojo blanco (Mantis editores, 2000). Ont aussi paru : Le crime n’existe pas (2000), finaliste au Prix Gérald-Godin, et Trafiqueurs de nuit (1996) pour lequel il a obtenu le prix Gérald-Godin. Plus récemment, il a publié Chevaux sans armes (2006), La bibliothèque des torsions (2022) et Rondeur d’oxygène (2024)..
