L’entreprise en Afrique n’est pas une création récente, elle a son origine dans une histoire qui remonte aux premiers contacts entre les populations et les premiers voyageurs arabes puis portugais. Elle tire de ces origines des formes propres qui se sont transformées au fil des siècles tout en maintenant un système d’exploitation des richesses du continent peu différent des traites anciennes.
Cet ouvrage est la somme de ces expériences complémentaires et devrait être utile à des étudiants de plusieurs disciplines (management international, développement international, anthropologie, sociologie, etc.), soit africains (principalement Afrique de l’Ouest et Afrique centrale) pour les aider à faire le point sur leur pays, soit futurs expatriés ayant choisi d’y travailler.
Après avoir retracé ces évolutions, l’ouvrage établit une classification des entreprises dite « africaines » au sens d’entreprises contrôlées et gérées par des entrepreneurs issus du continent, recensant aussi bien les réussites que les échecs. Les auteurs présentent ensuite un état de l’atmosphère de travail des entreprises ainsi qu’un tableau, nourri de leurs expériences relatives aux dérives et aux tentations de fraudes. Ils s’interrogent sur les causes d’un certain désarroi des modèles occidentaux de gestion face à ces phénomènes, sur la mise en cause du modèle occidental comme sur la pertinence, qu’ils récusent, d’un modèle de gestion proprement africain, passant en revue théories et expériences.
S’appuyant sur le constat établi par des chercheurs africains « iconoclaste » de plus en plus nombreux, les auteurs mettent en évidence les actions et les tendances réelles qui permettront à l’entreprise de faire face aux risques de marginalisation et au défi de la mondialisation.
L’entreprise en Afrique n’est pas une création récente, elle a son origine dans une histoire qui remonte aux premiers contacts entre les populations et les premiers voyageurs arabes puis portugais. Elle tire de ces origines des formes propres qui se sont transformées au fil des siècles tout en maintenant un système d’exploitation des richesses du continent peu différent des traites anciennes.
Cet ouvrage est la somme de ces expériences complémentaires et devrait être utile à des étudiants de plusieurs disciplines (management international, développement international, anthropologie, sociologie, etc.), soit africains (principalement Afrique de l’Ouest et Afrique centrale) pour les aider à faire le point sur leur pays, soit futurs expatriés ayant choisi d’y travailler.
Après avoir retracé ces évolutions, l’ouvrage établit une classification des entreprises dite « africaines » au sens d’entreprises contrôlées et gérées par des entrepreneurs issus du continent, recensant aussi bien les réussites que les échecs. Les auteurs présentent ensuite un état de l’atmosphère de travail des entreprises ainsi qu’un tableau, nourri de leurs expériences relatives aux dérives et aux tentations de fraudes. Ils s’interrogent sur les causes d’un certain désarroi des modèles occidentaux de gestion face à ces phénomènes, sur la mise en cause du modèle occidental comme sur la pertinence, qu’ils récusent, d’un modèle de gestion proprement africain, passant en revue théories et expériences.
S’appuyant sur le constat établi par des chercheurs africains « iconoclaste » de plus en plus nombreux, les auteurs mettent en évidence les actions et les tendances réelles qui permettront à l’entreprise de faire face aux risques de marginalisation et au défi de la mondialisation.