La thèse ici défendue est que de l'écriture au texte, de l'héritage à la transmission, l'oubli est la condition de possibilité de l'assimilation, de l'éducation et de l'histoire. L'oubli se tapit dans la langue ; se glisse dans le corps ; s'insinue dans l'histoire comme la vie qui s'absente. Cet ouvrage montre que l'oubli en éducation, s'il est une nécessité, trouve sa limite paradigmatique dans la figure de celui qui n'est pas éduqué, l'oublié de l'éducation.
La thèse ici défendue est que de l'écriture au texte, de l'héritage à la transmission, l'oubli est la condition de possibilité de l'assimilation, de l'éducation et de l'histoire. L'oubli se tapit dans la langue ; se glisse dans le corps ; s'insinue dans l'histoire comme la vie qui s'absente. Cet ouvrage montre que l'oubli en éducation, s'il est une nécessité, trouve sa limite paradigmatique dans la figure de celui qui n'est pas éduqué, l'oublié de l'éducation.
La thèse ici défendue est que de l'écriture au texte, de l'héritage à la transmission, l'oubli est la condition de possibilité de l'assimilation, de l'éducation et de l'histoire. L'oubli se tapit dans la langue ; se glisse dans le corps ; s'insinue dans l'histoire comme la vie qui s'absente. Cet ouvrage montre que l'oubli en éducation, s'il est une nécessité, trouve sa limite paradigmatique dans la figure de celui qui n'est pas éduqué, l'oublié de l'éducation.
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