La chair des autres . « Trouver la bonne distance est une question qui vous obsède quand vous écrivez. Mais quand vous écrivez sur une tragédie réelle et non fictionnelle, advenue à d'autres, cette réflexion vous harcèle. Rien ne peut être parfaitement honnête, ni le proche ni le lointain. . Pour se donner le droit de parler de l'autre, la politesse serait de dévoiler d'où l'on parle. De faire corps, sans s'effacer. » .