La Martinique est terre française depuis cinq siècles. Une exploitation sans pitié durant la période de l'esclavage et pendant la colonisation a laissé place à la citoyenneté, à l'éducation des masses, à la fabrique d'une élite surdiplômée. Mais ce bien être relatif et l'éducation ont généré un esprit de revanche exacerbé. Les Martiniquais, dans leur majorité, se sentent français mais ressentent une gêne, un mal-être face au discours martelé par les séparatistes qui oublient trop que seule une économie solide permet de regarder l'avenir.
La Martinique est terre française depuis cinq siècles. Une exploitation sans pitié durant la période de l'esclavage et pendant la colonisation a laissé place à la citoyenneté, à l'éducation des masses, à la fabrique d'une élite surdiplômée. Mais ce bien être relatif et l'éducation ont généré un esprit de revanche exacerbé. Les Martiniquais, dans leur majorité, se sentent français mais ressentent une gêne, un mal-être face au discours martelé par les séparatistes qui oublient trop que seule une économie solide permet de regarder l'avenir.