Si "la mort est toujours à vif", dans toute vie humaine, c'est qu'il n'y a pas de vie sans mort et sans cette transmission. C'est peut-être la seule métaphore réelle et non une seule opposition. Le langage de la poésie y devient l'âme du monde, mais peut-être, de nos jours, au terme d'une civilisation qui s'absente, par-delà la fragilité de l'existence individuelle...
Si "la mort est toujours à vif", dans toute vie humaine, c'est qu'il n'y a pas de vie sans mort et sans cette transmission. C'est peut-être la seule métaphore réelle et non une seule opposition. Le langage de la poésie y devient l'âme du monde, mais peut-être, de nos jours, au terme d'une civilisation qui s'absente, par-delà la fragilité de l'existence individuelle...