Lorsque la poésie d’origine japonaise rencontre le regard amusé de Fernand Bellehumeur, les jolis tercets qui en découlent prennent saveur d’érable.
Riche d’un bagage de 90 ans d’audace, à l’aube d’une étape de vie où seule la sagesse peut vaincre la morosité des jours, l’auteur adresse ici un clin d’œil attendrissant à la vie.
Accompagnées des œuvres choisies parmi l’impressionnant corpus de l’artiste en arts visuels Carole-Yvonne Richard, ces poésies deviennent de doux prétextes à la rêverie. La peintre magnifie, par ses oeuvres vivantes et colorées, la beauté des poèmes. Elles évoquent l’évanescence et l’impermanence, laissant toute place à notre imaginaire.