" Mon premier contact avec Vince Taylor eut lieu durant l'été 1960. Sa chanson "Brand new Cadillac" écoutée au juke-box d'un café de village en Suisse. C'est le mot "Cadillac" qui me l'avait fait choisir. J'avais onze ans. Trente et un ans plus tard, ne l'ayant jamais rencontré, j'appris qu'il venait de mourir à moins d'une centaine de kilomètres du village. Je décidai alors d'essayer de retracer son histoire et d'en faire un jour un roman." Jean-Michel Esperet
" Mon premier contact avec Vince Taylor eut lieu durant l'été 1960. Sa chanson "Brand new Cadillac" écoutée au juke-box d'un café de village en Suisse. C'est le mot "Cadillac" qui me l'avait fait choisir. J'avais onze ans. Trente et un ans plus tard, ne l'ayant jamais rencontré, j'appris qu'il venait de mourir à moins d'une centaine de kilomètres du village. Je décidai alors d'essayer de retracer son histoire et d'en faire un jour un roman." Jean-Michel Esperet