Les relations économiques franco-allemandes n'ont rien d'un long fleuve tranquille. Relativement équilibrées jusqu'à la chute du Mur, elles n'ont pas résisté à la forte ascension multisectorielle de l'économie allemande, une fois parachevée la réhabilitation de l'ex-RDA. Les relations sont demeurées pourtant cordiales au niveau des deux Etats, car ils doivent gérer en commun un bien inestimable, l'euro, dont ils ont su profiter tous deux, pour des raisons strictement différentes.
Les relations économiques franco-allemandes n'ont rien d'un long fleuve tranquille. Relativement équilibrées jusqu'à la chute du Mur, elles n'ont pas résisté à la forte ascension multisectorielle de l'économie allemande, une fois parachevée la réhabilitation de l'ex-RDA. Les relations sont demeurées pourtant cordiales au niveau des deux Etats, car ils doivent gérer en commun un bien inestimable, l'euro, dont ils ont su profiter tous deux, pour des raisons strictement différentes.
Les relations économiques franco-allemandes n'ont rien d'un long fleuve tranquille. Relativement équilibrées jusqu'à la chute du Mur, elles n'ont pas résisté à la forte ascension multisectorielle de l'économie allemande, une fois parachevée la réhabilitation de l'ex-RDA. Les relations sont demeurées pourtant cordiales au niveau des deux Etats, car ils doivent gérer en commun un bien inestimable, l'euro, dont ils ont su profiter tous deux, pour des raisons strictement différentes.
Les relations économiques franco-allemandes n'ont rien d'un long fleuve tranquille. Relativement équilibrées jusqu'à la chute du Mur, elles n'ont pas résisté à la forte ascension multisectorielle de l'économie allemande, une fois parachevée la réhabilitation de l'ex-RDA. Les relations sont demeurées pourtant cordiales au niveau des deux Etats, car ils doivent gérer en commun un bien inestimable, l'euro, dont ils ont su profiter tous deux, pour des raisons strictement différentes.