L'approche des échéances présidentielles fait ressurgir immanquablement le débat. Jugés tantôt archaïques ou anti-démocratiques, et tantôt régulateurs ou légitimes, les parrainages sont au centre de la relation toujours difficile entre le droit et la politique. Les questions sur l'avenir de ce filtre, qui est une condition juridique primaire pour tous les prétendants à l'Elysée, illustrent la complexité de ce débat.
L'approche des échéances présidentielles fait ressurgir immanquablement le débat. Jugés tantôt archaïques ou anti-démocratiques, et tantôt régulateurs ou légitimes, les parrainages sont au centre de la relation toujours difficile entre le droit et la politique. Les questions sur l'avenir de ce filtre, qui est une condition juridique primaire pour tous les prétendants à l'Elysée, illustrent la complexité de ce débat.
L'approche des échéances présidentielles fait ressurgir immanquablement le débat. Jugés tantôt archaïques ou anti-démocratiques, et tantôt régulateurs ou légitimes, les parrainages sont au centre de la relation toujours difficile entre le droit et la politique. Les questions sur l'avenir de ce filtre, qui est une condition juridique primaire pour tous les prétendants à l'Elysée, illustrent la complexité de ce débat.
L'approche des échéances présidentielles fait ressurgir immanquablement le débat. Jugés tantôt archaïques ou anti-démocratiques, et tantôt régulateurs ou légitimes, les parrainages sont au centre de la relation toujours difficile entre le droit et la politique. Les questions sur l'avenir de ce filtre, qui est une condition juridique primaire pour tous les prétendants à l'Elysée, illustrent la complexité de ce débat.