Au tournant du millénaire, fascinées par tout ce qui s'apparente de près ou de loin à l'Apocalypse, les Lettres françaises entretiennent volontiers un climat de fin de partie : clonage et disparition de l'homme (Houellebecq, Dantec), culte de la fête ultime (Beigbeider, Murray), syndrome de Zidane (Toussaint). Dans le même temps, oeuvrant à contre-courant, d'autres romanciers se montrent au contraire fascinés par les commencements, qu'il s'agisse de néolithique (Montalbetti, Bergounioux), des grottes ornées (Chevillard, Michon, Rouaud). Si bien que la littérature contemporaine, ressemble à Janus, le dieu romain à deux visages.
Au tournant du millénaire, fascinées par tout ce qui s'apparente de près ou de loin à l'Apocalypse, les Lettres françaises entretiennent volontiers un climat de fin de partie : clonage et disparition de l'homme (Houellebecq, Dantec), culte de la fête ultime (Beigbeider, Murray), syndrome de Zidane (Toussaint). Dans le même temps, oeuvrant à contre-courant, d'autres romanciers se montrent au contraire fascinés par les commencements, qu'il s'agisse de néolithique (Montalbetti, Bergounioux), des grottes ornées (Chevillard, Michon, Rouaud). Si bien que la littérature contemporaine, ressemble à Janus, le dieu romain à deux visages.
Au tournant du millénaire, fascinées par tout ce qui s'apparente de près ou de loin à l'Apocalypse, les Lettres françaises entretiennent volontiers un climat de fin de partie : clonage et disparition de l'homme (Houellebecq, Dantec), culte de la fête ultime (Beigbeider, Murray), syndrome de Zidane (Toussaint). Dans le même temps, oeuvrant à contre-courant, d'autres romanciers se montrent au contraire fascinés par les commencements, qu'il s'agisse de néolithique (Montalbetti, Bergounioux), des grottes ornées (Chevillard, Michon, Rouaud). Si bien que la littérature contemporaine, ressemble à Janus, le dieu romain à deux visages.
Au tournant du millénaire, fascinées par tout ce qui s'apparente de près ou de loin à l'Apocalypse, les Lettres françaises entretiennent volontiers un climat de fin de partie : clonage et disparition de l'homme (Houellebecq, Dantec), culte de la fête ultime (Beigbeider, Murray), syndrome de Zidane (Toussaint). Dans le même temps, oeuvrant à contre-courant, d'autres romanciers se montrent au contraire fascinés par les commencements, qu'il s'agisse de néolithique (Montalbetti, Bergounioux), des grottes ornées (Chevillard, Michon, Rouaud). Si bien que la littérature contemporaine, ressemble à Janus, le dieu romain à deux visages.