Le travail est-il une dimension fondamentale de la condition humaine? Quand et comment l'Occident en est-il arrivé à faire du travail une notion abstraite et de sa pratique quotidienne un élément central de nos vies? Afin de répondre à de telles questions, ce livre propose de revisiter les grands auteurs classiques et modernes de manière à circonscrire leurs interrogations relatives à l'effort, à l'oeuvre et au travail.
Les penseurs étudiés dans cet ouvrage ont tous participé à des moments clés de l'histoire de l'Occident. Ainsi en est-il des philosophes et des théologiens, par exemple les philosophes grecs de l'Antiquité, puis saint Augustin, Luther, Calvin, les puritains anglais et évidemment Hegel. En économie politique, les conceptions et les analyses du travail chez Smith, Saint-Simon, Proudhon et Marx ont joué un rôle décisif dans l'émergence et la critique de la conception moderne du travail. En sociologie, Durkheim, Weber et plus récemment Habermas ont, chacun à leur manière, examiné de près la reconfiguration du lien social dans des sociétés de plus en plus façonnées par de nouvelles dynamiques du travail.
Cet ouvrage contribue à conjurer l'amnésie conceptuelle et théorique afin de tracer les discontinuités et les continuités de nos interrogations sur le travail. Il convie les grands auteurs classiques et modernes à enrichir notre regard sur les réalités actuelles du travail afin de nous aider à penser différemment notre avenir.
Le travail est-il une dimension fondamentale de la condition humaine? Quand et comment l'Occident en est-il arrivé à faire du travail une notion abstraite et de sa pratique quotidienne un élément central de nos vies? Afin de répondre à de telles questions, ce livre propose de revisiter les grands auteurs classiques et modernes de manière à circonscrire leurs interrogations relatives à l'effort, à l'oeuvre et au travail.
Les penseurs étudiés dans cet ouvrage ont tous participé à des moments clés de l'histoire de l'Occident. Ainsi en est-il des philosophes et des théologiens, par exemple les philosophes grecs de l'Antiquité, puis saint Augustin, Luther, Calvin, les puritains anglais et évidemment Hegel. En économie politique, les conceptions et les analyses du travail chez Smith, Saint-Simon, Proudhon et Marx ont joué un rôle décisif dans l'émergence et la critique de la conception moderne du travail. En sociologie, Durkheim, Weber et plus récemment Habermas ont, chacun à leur manière, examiné de près la reconfiguration du lien social dans des sociétés de plus en plus façonnées par de nouvelles dynamiques du travail.
Cet ouvrage contribue à conjurer l'amnésie conceptuelle et théorique afin de tracer les discontinuités et les continuités de nos interrogations sur le travail. Il convie les grands auteurs classiques et modernes à enrichir notre regard sur les réalités actuelles du travail afin de nous aider à penser différemment notre avenir.