Un vieil adage dit que pour mieux comprendre où on va, il est important de comprendre d'où on vient. Profitant de l'occasion du 400e anniversaire de la fondation de Québec (1608-2008), des femmes et des hommes passionnés à la fois d'histoire et de spiritualité ont réuni leurs efforts pour risquer un retour au « souffle des fondateurs religieux » comme Marie de l'Incarnation et les premiers missionnaires. Ils ont proposé des lectures inédites de cette « modernité » à laquelle appartenaient ces personnes aux grandes aspirations. Au fil de cet ouvrage, le lecteur sera à même de pénétrer dans cet univers complexe d'un monde intérieur bien vivant qui, en plus d'affirmer l'identité des sujets impliqués, inspire de grandes actions relatives à la vie politique, à l'éducation, au monde de la santé et à la rencontre des étrangers. Un ouvrage qui éclaire sous un nouveau jour des tranches importantes de « l'épopée mystique » dont parlait naguère Georges Goyau (1924) et qui montre comment la vitalité spirituelle a contribué (et peut encore contribuer) aux fondements de la société d'aujourd'hui.
Un vieil adage dit que pour mieux comprendre où on va, il est important de comprendre d'où on vient. Profitant de l'occasion du 400e anniversaire de la fondation de Québec (1608-2008), des femmes et des hommes passionnés à la fois d'histoire et de spiritualité ont réuni leurs efforts pour risquer un retour au « souffle des fondateurs religieux » comme Marie de l'Incarnation et les premiers missionnaires. Ils ont proposé des lectures inédites de cette « modernité » à laquelle appartenaient ces personnes aux grandes aspirations. Au fil de cet ouvrage, le lecteur sera à même de pénétrer dans cet univers complexe d'un monde intérieur bien vivant qui, en plus d'affirmer l'identité des sujets impliqués, inspire de grandes actions relatives à la vie politique, à l'éducation, au monde de la santé et à la rencontre des étrangers. Un ouvrage qui éclaire sous un nouveau jour des tranches importantes de « l'épopée mystique » dont parlait naguère Georges Goyau (1924) et qui montre comment la vitalité spirituelle a contribué (et peut encore contribuer) aux fondements de la société d'aujourd'hui.