« Immanquablement, chaque année, l'urgence de partir me reprenait et je retournais voir Lo Thi Gom. Je sautais dans un avion pour Hanoï, un train de nuit pour Lao Caï, un bus pour Sapa. Et enfin je retrouvais Gom, là-haut dans les brumes des montagnes. C'était à la fois une fuite et un retour... l'enracinement et l'errance. ».