Dans cinquante ans, l'Afrique ne devra plus être du Tiers-Monde, ni le sujet principal des discours sur l'aide. Pour cela, il faut fonder la vision du futur africain sur le bilan rationnel et dépassionné des cinquante dernières années, au lieu des projections approximatives d'une réalité si mouvante et si oppressive qu'est la mondialisation des mouvements de capitaux, de techniques, des idées et des courants migratoires.
Dans cinquante ans, l'Afrique ne devra plus être du Tiers-Monde, ni le sujet principal des discours sur l'aide. Pour cela, il faut fonder la vision du futur africain sur le bilan rationnel et dépassionné des cinquante dernières années, au lieu des projections approximatives d'une réalité si mouvante et si oppressive qu'est la mondialisation des mouvements de capitaux, de techniques, des idées et des courants migratoires.