Longtemps, les harkis furent considérés comme des traîtres, personne ne parlait de leur histoire, des raisons de leur engagement pro-français. Leurs enfants ont grandi, confrontés d'une part au rejet de la communauté algérienne et d'autre part au rejet de la société française, parce qu'ils étaient d'origine algérienne et à ce titre, sujets au racisme. Tout laisserait supposer que les fils et les filles de harkis seraient dans l'incapacité de se (re)construire : cette recherche sociologique prouve exactement le contraire.
Longtemps, les harkis furent considérés comme des traîtres, personne ne parlait de leur histoire, des raisons de leur engagement pro-français. Leurs enfants ont grandi, confrontés d'une part au rejet de la communauté algérienne et d'autre part au rejet de la société française, parce qu'ils étaient d'origine algérienne et à ce titre, sujets au racisme. Tout laisserait supposer que les fils et les filles de harkis seraient dans l'incapacité de se (re)construire : cette recherche sociologique prouve exactement le contraire.