Revenir en Algérie en touriste, quarante ans après les "événements", c'est-à-dire près d'un demi-siècle après la guerre d'Indépendance et au moment où s'ouvre, au début des années 1990, une période troubles pour la nation et l'Etat algériens : on peut rêver, sans doute, d'un temps plus propice à la villégiature ! Dans un hôtel de Souk-Ahras, entre la réalité d'aujourd'hui et l'évocation de ces lointaines années 1950, les souvenirs de celui qui fut l'un de ces "jeunes appelés du contingent maintenus sous les drapeaux au-delà de la durée légale".
Revenir en Algérie en touriste, quarante ans après les "événements", c'est-à-dire près d'un demi-siècle après la guerre d'Indépendance et au moment où s'ouvre, au début des années 1990, une période troubles pour la nation et l'Etat algériens : on peut rêver, sans doute, d'un temps plus propice à la villégiature ! Dans un hôtel de Souk-Ahras, entre la réalité d'aujourd'hui et l'évocation de ces lointaines années 1950, les souvenirs de celui qui fut l'un de ces "jeunes appelés du contingent maintenus sous les drapeaux au-delà de la durée légale".