Avec Lignes d'horizon, la poésie gabonaise ajoute à ses rares poétesses un autre nom : Marie Constance Zeng Ebome. Son verbe poétique est aussi sombre que lucide. Textes aux oxymores et aux assonances laissant tomber des gouttes de sang et d'espoir.
Avec Lignes d'horizon, la poésie gabonaise ajoute à ses rares poétesses un autre nom : Marie Constance Zeng Ebome. Son verbe poétique est aussi sombre que lucide. Textes aux oxymores et aux assonances laissant tomber des gouttes de sang et d'espoir.