Dans ce petit ouvrage ultime, d'une extrême densité hypertextuelle et endotextuelle, Augusto ROA BASTOS (1917-2005) nous donne à reconstruire et déconstruire son oeuvre entière, y compris son oeuvre absente. On ne dira jamais assez que ce penseur paraguayen, qui se projeta dans la mort de l'auteur, a révolutionné l'écriture, en particulier avec Moi le Suprême (1974).
Dans ce petit ouvrage ultime, d'une extrême densité hypertextuelle et endotextuelle, Augusto ROA BASTOS (1917-2005) nous donne à reconstruire et déconstruire son oeuvre entière, y compris son oeuvre absente. On ne dira jamais assez que ce penseur paraguayen, qui se projeta dans la mort de l'auteur, a révolutionné l'écriture, en particulier avec Moi le Suprême (1974).