La mise en banque de l'ADN est devenue un enjeu stratégique central pour la recherche médicale mobilisant le principe du consentement dit éclairé. Cette activité relève d'une nouvelle biopolitique fondée sur l'assentiment des personnes. Comment les usagers, pour partie "auteurs" des finalités d'une recherche qui sous certains aspects leur échappent, se positionnent-ils face à ce gouvernement du corps et de ses éléments?
La mise en banque de l'ADN est devenue un enjeu stratégique central pour la recherche médicale mobilisant le principe du consentement dit éclairé. Cette activité relève d'une nouvelle biopolitique fondée sur l'assentiment des personnes. Comment les usagers, pour partie "auteurs" des finalités d'une recherche qui sous certains aspects leur échappent, se positionnent-ils face à ce gouvernement du corps et de ses éléments?
La mise en banque de l'ADN est devenue un enjeu stratégique central pour la recherche médicale mobilisant le principe du consentement dit éclairé. Cette activité relève d'une nouvelle biopolitique fondée sur l'assentiment des personnes. Comment les usagers, pour partie "auteurs" des finalités d'une recherche qui sous certains aspects leur échappent, se positionnent-ils face à ce gouvernement du corps et de ses éléments?
La mise en banque de l'ADN est devenue un enjeu stratégique central pour la recherche médicale mobilisant le principe du consentement dit éclairé. Cette activité relève d'une nouvelle biopolitique fondée sur l'assentiment des personnes. Comment les usagers, pour partie "auteurs" des finalités d'une recherche qui sous certains aspects leur échappent, se positionnent-ils face à ce gouvernement du corps et de ses éléments?