Un vacarme constant.
Du béton brûlant.
De la grisaille.
Un horizon rétréci par des milliers d’immeubles.
Un voisinage peuplé d’inconnu·es.
Alors que la croissance et l’étalement des grands centres urbains se poursuivent au Canada comme ailleurs, est-il possible d’imaginer une nouvelle façon de faire société ? Et si les villes se faisaient aussi verdoyantes, nourrissantes ? Cet essai explore le rôle de l’alimentation – au-delà de l’agriculture urbaine – dans la réappropriation des quartiers par leurs résident·es.
Et si, en (ré)enchâssant l’alimentation au sein du tissu urbain, nous réinventions la ville ?
Avec cet essai de réparation, j’espère inspirer une reconnexion aux autres, au monde qui nous entoure. Notre suite en dépend..