Michel Redon a aimé Mahler, Fauré et Chausson. Non pas seulement à travers leur musique, qui au fond aurait pu n'être qu'un pretexte à l'écriture, mais bien pour eux mêmes. Ils se retrouvent tous les trois unis dans son écriture par le fil de leur insatiable mélancolie.
Michel Redon a aimé Mahler, Fauré et Chausson. Non pas seulement à travers leur musique, qui au fond aurait pu n'être qu'un pretexte à l'écriture, mais bien pour eux mêmes. Ils se retrouvent tous les trois unis dans son écriture par le fil de leur insatiable mélancolie.