Cet ouvrage s'intéresse au parcours intellectuel de Régine Robin et examine les problématiques qu'elle développe tant dans ses essais que dans ses oeuvres de fiction. La ville, la ou les langues, la mémoire, la guerre, l'écriture de l'histoire et des sciences humaines et la recherche d'une forme pour dire l'expérience humaine sont tous des objets qui traversent la pensée de Régine Robin. Romancière pour La Québécoite, essayiste pour Berlin chantiers et La mémoire saturée, entretenant un rapport ambigu avec l'histoire et les historiens, il semble impossible de dresser un portrait de Régine Robin. Entre l'identité et la judéité, la mémoire de la Deuxième Guerre mondiale et les déambulations urbaines à Montréal, Paris et Berlin, les itinéraires de Régine Robin l'ont amenée à utiliser divers types d'écriture, au carrefour de diverses disciplines et dans des lieux géographiques tout aussi variés. Toujours, l'impossible représentation de celle qu'on ne peut encadrer. Plus qu'une oeuvre pluridisciplinaire, c'est une oeuvre indisciplinaire. Le livre traverse ainsi presque un demi-siècle de débats intellectuels concernant l'analyse de discours, la pluralité des identités dans le monde contemporain, le devenir du vivre ensemble dans les grandes villes, la place de l'imaginaire et la mise en avant de la mémoire dans nos sociétés.??
Témoignages et analyses de Marc Angenot, Phyllis Aronoff, Jean Clément, Véronique Fauvelle, Viviana Fridman, Noemí Goldman, Antonio Gómez Moriana, Mary Jean Green, Peter Klaus, Nicole Lapierre, Bernard Magné, Catherine Mavrikakis, Francine Mazière, Philippe Mesnard, Alexis Nouss, Pierre Ouellet, Janet Paterson, Michel Plon et Sherry Simon.??
Historienne, sociologue et écrivaine, Régine Robin a écrit une vingtaine d'ouvrages, dont plusieurs romans et recueils de nouvelles. De La Québécoite à Berlin chantiers (qui reçut le Grand Prix du livre de Montréal), des carnets de Cybermigrances à La mémoire saturée, elle a posé les jalons d'une forme de réflexion et d'écriture hors des sentiers battus.
Cet ouvrage s'intéresse au parcours intellectuel de Régine Robin et examine les problématiques qu'elle développe tant dans ses essais que dans ses oeuvres de fiction. La ville, la ou les langues, la mémoire, la guerre, l'écriture de l'histoire et des sciences humaines et la recherche d'une forme pour dire l'expérience humaine sont tous des objets qui traversent la pensée de Régine Robin. Romancière pour La Québécoite, essayiste pour Berlin chantiers et La mémoire saturée, entretenant un rapport ambigu avec l'histoire et les historiens, il semble impossible de dresser un portrait de Régine Robin. Entre l'identité et la judéité, la mémoire de la Deuxième Guerre mondiale et les déambulations urbaines à Montréal, Paris et Berlin, les itinéraires de Régine Robin l'ont amenée à utiliser divers types d'écriture, au carrefour de diverses disciplines et dans des lieux géographiques tout aussi variés. Toujours, l'impossible représentation de celle qu'on ne peut encadrer. Plus qu'une oeuvre pluridisciplinaire, c'est une oeuvre indisciplinaire. Le livre traverse ainsi presque un demi-siècle de débats intellectuels concernant l'analyse de discours, la pluralité des identités dans le monde contemporain, le devenir du vivre ensemble dans les grandes villes, la place de l'imaginaire et la mise en avant de la mémoire dans nos sociétés.??
Témoignages et analyses de Marc Angenot, Phyllis Aronoff, Jean Clément, Véronique Fauvelle, Viviana Fridman, Noemí Goldman, Antonio Gómez Moriana, Mary Jean Green, Peter Klaus, Nicole Lapierre, Bernard Magné, Catherine Mavrikakis, Francine Mazière, Philippe Mesnard, Alexis Nouss, Pierre Ouellet, Janet Paterson, Michel Plon et Sherry Simon.??
Historienne, sociologue et écrivaine, Régine Robin a écrit une vingtaine d'ouvrages, dont plusieurs romans et recueils de nouvelles. De La Québécoite à Berlin chantiers (qui reçut le Grand Prix du livre de Montréal), des carnets de Cybermigrances à La mémoire saturée, elle a posé les jalons d'une forme de réflexion et d'écriture hors des sentiers battus.