Le mercredi 3 mars 1976, en France, se suicide un peintre dont l'oeuvre, méconnue, a depuis fait florès. Il a vécu, simplement, dans une rue du centre de Bordeaux. En utilisant quelques éléments de sa vie, cette pièce traite des rapports de l'art à la morale. Violente, passionnée, parfois choquante, elle est aussi une réflexion sur la capacité qu'a le théâtre de représenter scéniquement une pensée. Cette pièce a reçu l'aide d'une bourse à l'écriture du ministère de la Culture.
Le mercredi 3 mars 1976, en France, se suicide un peintre dont l'oeuvre, méconnue, a depuis fait florès. Il a vécu, simplement, dans une rue du centre de Bordeaux. En utilisant quelques éléments de sa vie, cette pièce traite des rapports de l'art à la morale. Violente, passionnée, parfois choquante, elle est aussi une réflexion sur la capacité qu'a le théâtre de représenter scéniquement une pensée. Cette pièce a reçu l'aide d'une bourse à l'écriture du ministère de la Culture.