Certains considèrent la littérature au mieux comme un passe-temps ou un divertissement, au pire comme un contenu désuet à l’ère de Netflix et de l’information en continu. D’autres encore n’en gardent que le vague souvenir d’une épreuve à traverser pour obtenir son diplôme d’études collégiales ou la perçoivent comme une pratique peu utile, subventionnée à même nos taxes. Mais ceux et celles qui la consomment le savent : la littérature fait beaucoup plus que nous divertir.