"Le génie est un astre sans partage et sans bonheur. C'est cela qui effraye la multitude qu'il n'habite pas. Lui n'était que musique. Il ne connaissait pas de musique gaie. Composer était à chaque fois plus nécessaire. C'était comme un trop-plein qui se vidait, comme un barrage qui cédait. Après, il se sentait mieux. Il contemplait ses notes encore humides sur le papier." Paris, août 1767. Une intoxication aux amanites phalloïdes referme prématurément l'existence de l'un des plus grands musiciens de la France des Lumières. Fiction historique, Les Partitions Absolues remplissent librement les blancs d'une destinée aujourd'hui méconnue et mal connue : celle de Johan Schobert.
"Le génie est un astre sans partage et sans bonheur. C'est cela qui effraye la multitude qu'il n'habite pas. Lui n'était que musique. Il ne connaissait pas de musique gaie. Composer était à chaque fois plus nécessaire. C'était comme un trop-plein qui se vidait, comme un barrage qui cédait. Après, il se sentait mieux. Il contemplait ses notes encore humides sur le papier." Paris, août 1767. Une intoxication aux amanites phalloïdes referme prématurément l'existence de l'un des plus grands musiciens de la France des Lumières. Fiction historique, Les Partitions Absolues remplissent librement les blancs d'une destinée aujourd'hui méconnue et mal connue : celle de Johan Schobert.
"Le génie est un astre sans partage et sans bonheur. C'est cela qui effraye la multitude qu'il n'habite pas. Lui n'était que musique. Il ne connaissait pas de musique gaie. Composer était à chaque fois plus nécessaire. C'était comme un trop-plein qui se vidait, comme un barrage qui cédait. Après, il se sentait mieux. Il contemplait ses notes encore humides sur le papier." Paris, août 1767. Une intoxication aux amanites phalloïdes referme prématurément l'existence de l'un des plus grands musiciens de la France des Lumières. Fiction historique, Les Partitions Absolues remplissent librement les blancs d'une destinée aujourd'hui méconnue et mal connue : celle de Johan Schobert.
"Le génie est un astre sans partage et sans bonheur. C'est cela qui effraye la multitude qu'il n'habite pas. Lui n'était que musique. Il ne connaissait pas de musique gaie. Composer était à chaque fois plus nécessaire. C'était comme un trop-plein qui se vidait, comme un barrage qui cédait. Après, il se sentait mieux. Il contemplait ses notes encore humides sur le papier." Paris, août 1767. Une intoxication aux amanites phalloïdes referme prématurément l'existence de l'un des plus grands musiciens de la France des Lumières. Fiction historique, Les Partitions Absolues remplissent librement les blancs d'une destinée aujourd'hui méconnue et mal connue : celle de Johan Schobert.