Paul Sollier (1861-1933) a été l'un des derniers élèves de Charcot (1825-1893). Il en fut le continuateur, il voyait dans l'hystérie un tempérament et une manière spéciale de réagir au stress plus qu'une véritable maladie. A l'encontre de
Sigmund Freud qui faisait du refoulement la cause de l'hystérie, il attribuait à l'hystérie la cause du refoulement. Il démaquillait ainsi le visage d'une affection favorisée par la complexion, les aléas du destin et la place de chacun dans la société.
Paul Sollier (1861-1933) a été l'un des derniers élèves de Charcot (1825-1893). Il en fut le continuateur, il voyait dans l'hystérie un tempérament et une manière spéciale de réagir au stress plus qu'une véritable maladie. A l'encontre de
Sigmund Freud qui faisait du refoulement la cause de l'hystérie, il attribuait à l'hystérie la cause du refoulement. Il démaquillait ainsi le visage d'une affection favorisée par la complexion, les aléas du destin et la place de chacun dans la société.