A partir de 1998, la France s'est dotée de structures institutionnelles et d'un dispositif législatif pour l'évaluation et la maîtrise des risques, alors que la Grande-Bretagne apportait des ajustements à son propre dispositif. Les crises alimentaires et les préoccupations sur le nucléaire ont renforcé les décisions politiques et l'engagement citoyen sur ce terrain. Ces contributions sont centrées sur les risques alimentaires, sanitaires et nucléaires. Au coeur des débat se trouvent la question de l'expertise et surtout celle du principe de précaution.
A partir de 1998, la France s'est dotée de structures institutionnelles et d'un dispositif législatif pour l'évaluation et la maîtrise des risques, alors que la Grande-Bretagne apportait des ajustements à son propre dispositif. Les crises alimentaires et les préoccupations sur le nucléaire ont renforcé les décisions politiques et l'engagement citoyen sur ce terrain. Ces contributions sont centrées sur les risques alimentaires, sanitaires et nucléaires. Au coeur des débat se trouvent la question de l'expertise et surtout celle du principe de précaution.