Jean-Luc Pouliquen nous offre ici plus que des notes sur son voyage à Sofia en Bulgarie mais une série de tableaux vivants sur la ville, ses intellectuels, sa cuisine, ses jardins et ses odeurs. Il y a dans ce texte une poétique du voyage dont l'auteur témoigne comme d'un bijou précieux dont on ne sait encore à qui on va l'offrir et nous lecteurs jusqu'à la dernière ligne, espérons en avoir été le destinataire privilégié. (Philippe Tancelin)
Jean-Luc Pouliquen nous offre ici plus que des notes sur son voyage à Sofia en Bulgarie mais une série de tableaux vivants sur la ville, ses intellectuels, sa cuisine, ses jardins et ses odeurs. Il y a dans ce texte une poétique du voyage dont l'auteur témoigne comme d'un bijou précieux dont on ne sait encore à qui on va l'offrir et nous lecteurs jusqu'à la dernière ligne, espérons en avoir été le destinataire privilégié. (Philippe Tancelin)