En 1787, les marins de La Pérouse furent les premiers Français à observer les côtes de Corée mais sans se risquer à y débarquer : le refus des étrangers était ancré dans la culture confucéenne du Matin Calme. Plus tard, des missionnaires français entrés clandestinement payèrent cette audace de leur vie. Suite au traité d'amitié et de commerce signé en 1886, les relations franco-coréennes connurent enfin un âge d'or. Mais l'occupation japonaise effaça jusqu'au souvenir de Français, venus en Corée comme conseillers officiels pour l'éducation, les chemins de fer, les mines, l'armée, le droit, etc. Depuis, le pays a appris à découvrir d'autres facettes du savoir-faire français.
En 1787, les marins de La Pérouse furent les premiers Français à observer les côtes de Corée mais sans se risquer à y débarquer : le refus des étrangers était ancré dans la culture confucéenne du Matin Calme. Plus tard, des missionnaires français entrés clandestinement payèrent cette audace de leur vie. Suite au traité d'amitié et de commerce signé en 1886, les relations franco-coréennes connurent enfin un âge d'or. Mais l'occupation japonaise effaça jusqu'au souvenir de Français, venus en Corée comme conseillers officiels pour l'éducation, les chemins de fer, les mines, l'armée, le droit, etc. Depuis, le pays a appris à découvrir d'autres facettes du savoir-faire français.