De 1986 à 1999, les populations rurales de Haute-Guinée ont été attirées par la culture du coton. Mais en dépit de facteurs stimulants, celle-ci est restée marginale en comparaison à celle de certains pays frontaliers comme le Mali et la Côte d'Ivoire. Néanmoins, elle a joué un rôle de principal vecteur de développement rural. Le processus de privatisation de cette culture en Guinée en 2000, par sa définition et son échec, se présente comme une expérience singulière en Afrique de l'Ouest.
De 1986 à 1999, les populations rurales de Haute-Guinée ont été attirées par la culture du coton. Mais en dépit de facteurs stimulants, celle-ci est restée marginale en comparaison à celle de certains pays frontaliers comme le Mali et la Côte d'Ivoire. Néanmoins, elle a joué un rôle de principal vecteur de développement rural. Le processus de privatisation de cette culture en Guinée en 2000, par sa définition et son échec, se présente comme une expérience singulière en Afrique de l'Ouest.