Le 25 février 1848, à Paris, les membres du Gouvernement provisoire décident d'abolir l'esclavage. Le décret, finalement signé le 27 avril, libère tous les esclaves détenus dans les colonies françaises. Les maîtres, eux, qui sont-ils? Une liste de procès qui leur sont intentés pour sévices illégaux sur leurs esclaves nous révèle quelques-uns de ces propriétaires békés de la Martinique, de Guyane, du Sénégal et de la colonie suédoise de Saint-Barthélemy.
Le 25 février 1848, à Paris, les membres du Gouvernement provisoire décident d'abolir l'esclavage. Le décret, finalement signé le 27 avril, libère tous les esclaves détenus dans les colonies françaises. Les maîtres, eux, qui sont-ils? Une liste de procès qui leur sont intentés pour sévices illégaux sur leurs esclaves nous révèle quelques-uns de ces propriétaires békés de la Martinique, de Guyane, du Sénégal et de la colonie suédoise de Saint-Barthélemy.
Le 25 février 1848, à Paris, les membres du Gouvernement provisoire décident d'abolir l'esclavage. Le décret, finalement signé le 27 avril, libère tous les esclaves détenus dans les colonies françaises. Les maîtres, eux, qui sont-ils? Une liste de procès qui leur sont intentés pour sévices illégaux sur leurs esclaves nous révèle quelques-uns de ces propriétaires békés de la Martinique, de Guyane, du Sénégal et de la colonie suédoise de Saint-Barthélemy.
Le 25 février 1848, à Paris, les membres du Gouvernement provisoire décident d'abolir l'esclavage. Le décret, finalement signé le 27 avril, libère tous les esclaves détenus dans les colonies françaises. Les maîtres, eux, qui sont-ils? Une liste de procès qui leur sont intentés pour sévices illégaux sur leurs esclaves nous révèle quelques-uns de ces propriétaires békés de la Martinique, de Guyane, du Sénégal et de la colonie suédoise de Saint-Barthélemy.