La signification de la séparation entre Etat et Religion, politique et théologie, ne cesse de hanter les esprits. Beaucoup se demandent si ce divorce entre religion et vie sociale ne conduit pas à une vulnérabilité de la société. Cette disjonction n'entraîne-t-elle pas réciproquement un effritement de la référence religieuse qui, en tant que choix libre, a perdu tout son poids, devenu, individualiste, l'affaire d'une minorité endurcie. N'est-il pas urgent de repenser une autre relation entre théologie et politique face à l'impuissance chronique du politique ?
La signification de la séparation entre Etat et Religion, politique et théologie, ne cesse de hanter les esprits. Beaucoup se demandent si ce divorce entre religion et vie sociale ne conduit pas à une vulnérabilité de la société. Cette disjonction n'entraîne-t-elle pas réciproquement un effritement de la référence religieuse qui, en tant que choix libre, a perdu tout son poids, devenu, individualiste, l'affaire d'une minorité endurcie. N'est-il pas urgent de repenser une autre relation entre théologie et politique face à l'impuissance chronique du politique ?