« Vendredi, à 6 heures du matin, nous sommes partis pour la France. (...) Aussi loin que remontaient mes souvenirs, nous avions toujours passé un mois de vacances sur l'île de Noirmoutier (...). J'avais emporté tout un tas de livres et avais laissé mes affaires d'équitation à la maison. Je ne voulais pas entendre parler de chevaux cet été. Je n'avais plus mis les pieds à l'écurie depuis la vente de Gento. Il était parti... Qu'est-ce que je pouvais y faire ? ».